Nom: Wisteria

Prénom: Sora

Age: 17 ans

Sexe: Masculin.

Classe: Terminale.

Histoire (minimum 4 ligne):
( J'utilise habituellement la première personne, j'espère que ça ne gênera pas =O)

chapitre 1 >> Intro
Du sang. Sur mes mains, mon jean, mon t-shirt blanc. Le sol était devenu rouge vermeil. Je me mis à courir dans les couloirs blancs du bâtiment, qui me donné mal à la tête. Je venais de voir un homme se faire tuer, encore. C'était courant, ici. Dans l'hôpital psychiatrique. Je fixais le bout du couloir. Le peu de lumière me mettais mal à l'aise, me faisant rappeler la nuit ou mes parents avaient été tués. Je n'avais que huit ans, à cette époque. Je regagnais ma chambre. De toute manière, j'étais obliger. Sinon, les gars en blouse blanche aller encore venir. Je ne détaillerais pas ce qu'ils m'ont fait. Trop horrible pour l'expliquer avec des mots. Mais comment j'ai pu atterrir dans un endroit pareil ? Je n'ai pourtant rien fait de mal et je n'étais pas fou.

Chapitre 2 >> La nuit
Je rentrais de ma séance de sport. Je pratiquais plusieurs arts martiaux dans un temple pas très loin de chez moi. A 8 ans, il faut dire que je me trouvais plutôt doué. J'allais m'installer devant la télévision. Ma grande soeur me fit un grand sourire avant de me saluer. Mon père et ma mère parlaient tranquillement dans la cuisine.
Je ne voulais pas les déranger, donc j'étais resté avec ma soeur. A ce moment quelqu'un frappa à la porte. Mon père alla ouvrir, puis il s'effondra, soudain rouge. Ma grande soeur, Nami, me dit de me cacher. Ce que je fis. De ma cachette je vis le reste de ma famille se faire tuer, sous mes yeux. Comment un petit garçon de huit ans pouvait réagir face a ça ? J'éclatais en sanglots. Les assassins m'avaient repéré et s'approchaient de moi. Au même
instant, une sirène de police s'éleva au loin. Les agresseurs, prient de panique, s'enfuient de la résidence me laissant paralyser contre le meuble.

Les policiers me trouvèrent avant de me mettre une couverture jaune en aluminium. L'un d'eux, après m'avoir fait sortir de la scène de crime essaya de me parler. J'ai bien dit, essayer hein. Je ne comprenais rien à ce qu'il disait, encore sous le choc. Je dis au policier d'aller se faire voir mais il ne bougea pas, visiblement habituer à ce genre de provocation même de la part d'un gamin de huit ans. Ce n'était pourtant pas mon habitude de parler comme ça aux gens. Je mis ça sur le compte de la peur.

Ils m’emmenèrent dans un orphelinat. Je n'avais plus de familles. Le seul problème, c'est que dès que le gérant de l'orphelinat m'a vu, il m'a tout de suite détester. Il fit le nécessaire pour m'envoyer dans un hôpital psychiatrique, donnant des fausses justifications. Les médecins étaient arrivés, et me prirent part les bras. Je n'opposa aucune résistance, je ne savais pas ou on m'emmenais.
- Viens Sora, ont t'emmène dans un endroit où tu pourra guérir...
Guérir de quoi? Je n'avais pas besoin de médecin. On me plaça dans une chambre. Blanche. J'étais le patient le plus petit de cet hôpital. Je ne me fit aucuns amis, tous des vieux. Même s'ils étaient gentils avec moi.

Les hommes en blouses blanches commencèrent part me faire plusieurs examens bizarre. Du genre "combien j'ai de doigts là?" et moi je répondais corréctement. Le psychologue n'arrivait pas à savoir ce que j'avais. Normal, puisque je n'avais rien.

Chapitre 3 >> Entretiens.

Les jours passèrent et les blouses blanches ne cessaient de m'observer avec attention. cela faisait deux ans que j'étais ici. 10 ans. Tss, dire que je commençais a m'y faire. les repas dégueulasse et les examens, sans parler de mon psy qu'il fallait que j'aille voir tout les jours. D'ailleurs, il était l'heure, je devait aller le voir. Les blouses blanche m'accompagnèrent.

J'entrai dans son bureau. Le psy me désigna une chaise.
- Bonjour Sora.
-Bonjour.
Il haussa un sourcil, visiblement mon caractère ne lui plaisait toujours pas. Il nota des trucs dans son carnet.
- Assieds-toi voyons.
- Non, merci.
Il soupira, puis continua.
- Bien. Sais-tu pourquoi tu es dans cet hôpital?
Il me poser cette question tous les jours. Et tous les jours, je répondais la même chose.
-Vous me prenez tous pour un fou.
- Non, pas du tout. Non essayons de t'aider après l'incident chez toi et...
- Ne parlez plus de ça. Compris ? grinçais-je entre mes dents.
Pour un gamin de dix ans, je me méfier de tout. Ma mère m'avait apprit a me méfier des adultes. et pas que ceux qui te propose un bonbon à condition de monter dans leurs camionnette. Il me posa pleins de questions, auquel je ne répondis rien. Il me renvoya dans ma chambre, voyant que cela ne servait à rien.

Chapitre 4 >> Un rat de laboratoire

Aujourd'hui, ils voulaient me faire passer un examen bizarre. Le genre de truc qui vous ramolli le cerveau. On m’emmena de force dans le cabinet du psychiatre. Les blouses blanche me laissèrent avec le psy. Je reculait vivement, et me heurter au mur. Flute.
- N'aie pas peur, voyons.
Bah non. C'est comme si un Banana Split de trois mètres de long voulait me bouffer. J'ai pas peur. Pourquoi devrais-je avoir peur d'ailleurs? Bandes de cons.
Le psy me prit violemment part le bras avant de m'attacher.
- Lâchez-moi ! criai-je, en vint.
- C'est notre seule chance de savoir ce qui cloche chez toi !
Le psy prit une lame, un scalpel plus précisément et s'approcha de mon visage. Il aller me faire quoi, là? A ce moment, quelqu'un défonça la porte du cabinet. C'était un visage que je reconnaissais, mais je n'arriver pas a mettre de nom sur sa figure.
-Lachez-le tout de suite, espèce de savant fou!
Je me souvenais! Mon maître d'arme, celui qui m'enseigner les arts martiaux. Il était vrai que je m'étais beaucoup attacher a lui, je le connaissais depuis ma naissance, car c'était un grand ami de ma famille. Le psy fut forcer de me détachait, et je courut vers mon enseignant.
- Pourquoi vous êtes pas venu plus tôt? Ça fait deux ans que je suis ici, ils me prennent tous pour un fou !
Dis-je, en retenant mes larmes de colère. Mon enseignant, Tikai ( je le surnomme comme ça )me fit reculer. Le psychiatre ainsi que la plupart du personnel de l'établissement, sans oublier le gérant de l'orphelinat avaient été mis en prison, suite a un procès violent.

Chapitre 5 >> Une explication de monsieur Tikai.

Il allait tout me dire. Des questions se bousculaient dans ma tête depuis ce jour-là. Un an. Un an à attendre ma sortie. 11 ans. Je suis donc resté trois ans dans cet endroit. Tikai s'assit sur le sol de ma chambre blanche. Moi, j'étais placé sur mon lit, prêt à l'écouter.

Il me raconta alors qu'il n'avait pas été au courant de la mort de mes parents tout de suite. Il avait dû le découvrir tout seul, tout d'abord parce qu'il ne me voyait plus à ses cours. Il remonta la piste jusqu'à l'orphelinat, ou le gérant se garda bien de lui dire que j'étais dans un hôpital psychiatrique. Tikai me chercha. En effet, le gérant lui avait raconté des bêtises, encore une fois. Comme quoi je m'étais enfuit, ou quelque chose dans ce genre. Jusqu'au jour ou Tikai appris que j'étais dans cet hôpital, personne ne le laissa entré. La police, la justice, les blouses blanches, tous était contre lui. Il avait dû chercher pendant longtemps de VRAIES preuves qui justifiaient comme quoi j'étais quelqu'un de normal, sous le choc de la mort de mes parents et de ma grande soeur. Cela dura bien longtemps, avant qu'il ne contact la justice, avec des preuves. Le temps qu'on lui accorde le fait d'entrée dans l'hôpital, des mois s'écoulèrent. jusqu'à il y a maintenant 1 an. Un procès eu lieu. A la suite de ça, toutes les personnes complice de ce complot ont étaient mit en prison. Sauf le gérant de l'orphelinat qui avait en quelque sorte prit ma place au sein de l'hôpital psychiatrique. En effet, il était véritablement fou, lui. Bien fait pour lui. En plus sa tête ressemblait plus à une montgolfière qu'autre chose.

Chapitre 6 >> Ma sortie .

Je mis les habits que Tikai m'avait apporté. Jean, t-shirt noir et simple chaussures de ville. J'avais peur. Si ça se trouve, en trois ans, tout avait changé. Qu'est-ce que les gens pensés de moi? Etait-je un fou a leurs yeux ? On entendit un bruit. C'était la petite alarme de deux notes qui retentit deux secondes pour ouvrir la porte de l'hôpital psychiatrique. Tikai et moi progressons lentement. Je lui tenais fermement la main. Nous passâmes devant une horde de vigile. Et là, la dernière porte s'ouvrit. Le monde extérieur. Rien n'avait changé. Mis à part quelques bâtiments. Les gens me regardaient avec une mine rassurante sur leur visage. J'esquissais un sourire, essayant de paraître heureux.

Chapitre 7 >> Education et Inscription.

Tikai décida de m'élever. Ouais, je trouvais ça bizarre. Mais les papiers étaient en règles et l'orphelinat ne s'opposa pas. La nouvelle directrice avait dit: " Il est important que cet enfant ai une vie heureuse dès à présent, je compte sur vous." Je sourit. Enfin libre...

Mon enseignant, heu baah... M'enseigna des choses, bien entendu. Je suivais des cours dans une école publique et étrangement, certaines filles étaient collés à moi. Oh et puis, elles faisaient ce qu'elles voulaient, hein. je me montrais ouvert, gentil et surtout très calme. Je ne m'étais plus jamais mis en colère.

Je découvris une passion sans limite pour le sport. Aaah, le sport! Ce truc qui vous permet d'évacuer tout le stress. Et puis, s'était amusant. Je me révélais être très doué pour tout type de sports. Je gagnai beaucoup de compétition, sous les yeux fières de mon enseignant. Et la vie continua. Tikai décida, un jour, de m'emmener dans cette pension. J'eus 17 ans. Je ne savais pas si j'étais près, mais je me lança, valises en main, espérant me faire beaucoup d'amis.

Caractère:
Malgré le fait que j'ai côtoyé des fous pendant trois ans, je ne suis pas fou pour autant. ( ça rime! //SBAAFF//) Je suis quelqu'un d'extrêmement calme. Il en faut beaucoup pour me mettre en colère. Et pourtant, même si je ne me met pas en colère, il me prend parfois, de distribuer quelques coups de poings, par-ci, par là. Ne serait-ce que pour défendre les personnes de mon entourage. Mais cela arrive rarement. Beaucoup de personnes disent que je suis quelqu'un de très gentil, poli et que je suis un vrai gentleman. ( ça, je ne le fais surement pas exprès.) je ne parle pas beaucoup et si je parle, ce n'est pas pour rien dire. Quelque chose qui me déplait dans votre attitude, je le dirais tout haut. Je ne suis pas le genre de gars hypocrite qui fait croire aux gens que tout va bien, alors que tout va mal. Je peux me montrer froid et distant. Si je ne suis pas bien et que vous me demandez si ça va, je vous répondrer surement en disant :" non ça va pas, casse toi maintenant." Certains traduirons ça part de la colère. Je dis ce que je pense, c'est tout.

Comme dit plus haut, je ne parle pas beaucoup. Je suis quelqu'un de réservé et n'ira pas souvent vers les autres. Encore moins vers les filles, ou la je me sent mal à l'aise. C'est plutôt de la timidité au fait. Les filles trouvent ça mignon. Moi je trouve ça plutôt... Heu, bah je sais pas au fait. J'apprécie le calme, j'adore part dessus tout... Faire du sport. Matin, midi et soir. Certains diront que cela ne va pas a ma personnalité. Et alors ? j'aime ça, c'est tout.

Que dire de plus ? Ah, étrangement parfois je me comporté bizarrement. Comme chaque être humains, d'ailleurs. Je peux me mettre à hurler lorsque je suis content. certains me regardent bizarrement quand je fais ça. Ils ont l'habitude de me voir calme et posé, à toute heure de la journée.

Physique(2 ligne complète):
Ce décrire. Le truc que je déteste faire.

Pour commencer, j'ai les cheveux courts et blonds assez clair. Mes yeux sont de couleur bleus azurs. Etrangement, ceux-ci peuvent virer au vert foncé quant à mon humeur. Aller savoir pourquoi. Je n'ai ni une peau mate, ni une peau blanche. Certains dirons que c'est l'équilibre parfait. Bah, je me fous de mon apparence, moi.

Je ne suis pas très grand. Je ne dépasse pas les 1 mètre 76 et je ne suis pas gros. On peut même dire que c'est tout le contraire. Je suis assez mince et assez muscler aussi, vu comment je m'acharne sur tous les sports.

Coté style vestimentaire, je peux porter de tout. Cela va au style décontracté ( t-shirt - jean - basket) ou au style plutôt "fermer". ( chemise sérrer ).

Je garde toujours sur moi un accessoire qui me permet de se repérer dans le temps comme une montre. Certains disent que ça me donne un coté mystérieux. Moi je pense que ça me donne plutôt un coté taré, a force de fixer ma montre. Enfin bref. A part ça, je n'ai rien d'autre de particuliers.

Rêve: Trouver pitètreuh l'amour ? * en mode timide xD* Ce qui va être difficile avec mon caractère.
Sinon, retrouver les assassins de mes parents, qui vont morfler si je les retrouve un jour.

Craintes: Retourner a l'asile Oo

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Ah, enfin moi, le vrai moi, a la première personne xD

Prénom: Alex

Age: 14 ans =p

Pays: France

Fille ou gars?: ... A en juger part mon prénom, je dirais Gars.

Ton pseudo ou puf: A vous de m'en donné un ^^

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Comment le trouve tu?Note le sur 5!: 4.5, car aucuns forum n'est parfait =p

Phrase/code du règlement: Ok ! (:

Comment a tu découvert le fow?: je sais plus OO Google surement, je l'ai retrouvé alors que je l'avais mis dans mes favoris. Ahlala, faut que je pense à faire le tri dans mon ordi, d'ailleurs =D

Autre chose a dire?: Vive les gens aux pseudos vert! xD

Bienvenu!!!

bienvenu!! et un sportif de plus un^^

Bienvenue , un sportif *w* et pas mal avec sa
Shindara : Hey oh on sort ensemble !!!
Tais toi rabat joie
^^

Merci à vous =D

Bienvenu!

A Yumi:Comment ça rabat joie?C'est normal ,non?

Merci beaucoup ^^

Voui evidemment je ne disais tous sa que pour rigoler mon petit Shinda d'amour
conscience * Grosse mito *
Nan sérieusement il ne t'arrive même pas à la cheville , pour moi c'est toi le plus beau et personne d'autre

Mouais,mouais. Je suis pas sûr de te croire...

Désolé Sora d'importuner la tranquillité de ta présentation,lol.

Un conseil mon chère Sora :ne t'y aventure surtout pas!

Hey !!!

Je le préviens juste!Tout le monde ne tombe pas amoureux de quelqu'un comme toi (conscience : vas y sauve t'as peau)!

Yeah, merci =D