Epilogue :
Loin, un homme souffrait.
Il pleurait, il ne pleurait pas parce qu’il souffrait, non.
Il pleurait son âmes, son essence, sa fée.
Il était enfermé dans cette cellule, attaché par des chaînes de Munes comme si il était encore puissant !
Mais au moins sa fille, elle ne souffrirait pas.
Sa fille, la dernière fois qu'il avait vu son visage.
Cette pensée apaisas un peu la perte de sa fée, t’elle un baume chaud et doux.
Mais la douleur qui avait doucement reflué revint, plus forte, plus amère.
Sa vue se brouillas et la dernière chose qu'il vit fut le visage de sa fille.
Il mourut soufrant mais en bonne pensée.
Chapitre 1 : Les derniers jours des cours et un autre mystère ...Mystérieux !
Elle était bien pourquoi bougé ?
-Lizzy !
Pour devrait-elle prendre compte des autres ?
-LIZZY !
Des pas retentir dans le couloir, et bientôt la porte de la chambres s'ouvrit sur une grande femme brune aux yeux bleu profond.
-Lizzy tu exagères ! C'est ton dernier jour en cours et tu vas être en retards !
Dit-elle en mettant ses sur ces hanche.
Une tête aux yeux semi fermé et aux boucles emmêlé sortit des profondeurs du lit et d'une voix molle donnas une explication qui aurait pu faire les révolutions des excuses.
-Eh ben justement c'est les derniers jours alors je peux très bien arriver en retard !
Et elle se recoucha .Sa mère soupiras, et tira violemment la couette sous la qu'elle se terra sa fille.
-Nan !! Pas la lumière du soleil ! cria celle-ci.
-Allez viens petite chauve-souris, j’ai fait des crêpes.
Lizzy prit vie, dit comme sa forcément ! Elle se leva et se dirigea vers son armoire .La jeune fille choisis un sweat blanc et un jean bleu .Elle enfila le tout et se plaça devant son miroir accrocher au mur .Elle se détailla un instant, de longue boucle rousse encadrait son visage, elle entreprit de les coiffer qui n'était pas chose aisé. Elle était de taille moyenne et ne présentais aucun problèmes de poids, son nez et ses pommette étais couvertes de tâche de rousseurs mais le plus étrange étais ses yeux .Ils étaient dorés, purement et simplement dorés, non pas jaunes ni marrons mais dorés, s’était étrange et déstabilisant mais pour rien au monde elle ne les aurait échangé .Pourquoi ? Car son père avait les même, son père dès qu'elle pensait a lui les larmes lui montait aux yeux .Mais d'un este des mains elle les chassa, la mort de son père pesais lourds sur son cœur alors que cela faisais déjà trois ans .Il était mort banalement, par un accident de voitures, il était morts banalement mais il avait été un homme formidable et hors du commun, un père formidable et hors du commun.
Chassant ses pensée noires de sa tête elle sortit de sa chambre et dévalas l'escalier qui la menait à la salle à manger .Une odeur de crêpe et de chocolat flottait dans l’air, Lizzie aspiras un grand coup et rejoignit sa mère dans la cuisine .Elle était affairé a éparpillé de la pâte à crêpe sur une poêle plate .La jeune fille déposa un baiser bruyant sur sa joue et s'approcha du tas de crêpe aux façons d'un prédateurs qui avait perçus sa proie.
-Fais attention c'est chaud, s’exclama sa mère.
-Aie ouille ouille !
Trop tard Lizzy c'était brulé, bientôt une petite bulle remplit d'eau se forma sur son doigt, sa mère posa un glaçons sur la blessure.
-Tu devrais faire plus attention !
-Je sais, je sais .Mais elle avait l'air tellement bonne !
Sa mère lui sourit puis lanças un regard furtif a l'horloge de la cuisine, et tartina une crêpe de Nutella et fourra le tout dans la bouche de sa fille.
-Allez file, petite chauve-souris.
Elle déposa un dernier baiser sonore sur la joue de mère et sortit de la maison, et s'élanças vers la gare.
La bas elle devait rejoindre Zora, sa meilleure amie depuis trois ans .Zora était apparue comme par magie au moment où Lizzy avait le plus besoin d’elle.
Car c'était il y a bien trois ans que son père les avait quittés.
A cette époque la jeune rousse avait été complètement bouleversé par la disparition de son père auquel elle avait été tellement attaché .Pendant près de six mois la jeune fille n'avait porté que du noir en signe de deuil ,même ses cheveux si flamboyant avait été sèchement attaché en chignon et recouvrèrent d'un voile noir .Lizzy ne mangeait plus ,ne dormait plus ( à part a quelque rare moment où elle c'était assoupis dans l'ateliers de son père) ,et ce qui inquiétait le plus sa mère c'est que sa fille ne peignait plus .En six mois pas un seul tableaux ,pas un seul dessin ,pas même un seul minuscule graffiti !
Quand elle était petite son père l'avait déjà initié à la peinture, tous deux avaient un immense talent. La peinture les rendaient heureux, les comblaient .Au début Maeva, la mère de Lizzy, avait été jalouse de la relation si fusionnelle entre le père et sa fille, mais enfin son mari lui avait expliqué et elle avait compris.
Pour mettre fin à cette période de deuil et de désolation, il lui fallut Zora .La jeune fille si vive, si excentrique et coloré, et surtout si compréhensive, intervint dans sa vie comme une bouée de secours.
Zora était une personne colorée, c’est le moins que l'on puisse dire. Chaque mois elle changeait de couleur, littéralement .Par exemple un mois elle était en bleu, entièrement en bleu. C'est à dire des chaussures jusqu'aux sous-vêtements, en passant par les cheveux et les yeux ! Et le mois d’après elle arrivait au collège en jaune par exemple ! Mais tout de même sa couleur fétiche était tout de même le rose !
Zora était vraiment quelqu'un à ne pas rater, et c'est ce type de quelqu'un qui a réussi à illuminer sa vie, a lui redonner envie de vivre.
Lizzy n'était plus qu'à quelque pas de la gare, elle s’approcha encore un peu et en voyant Zora, toutes vêtue de vert (avec des pastèques sur son t-shirt) elle faillit l'interpeller lorsque soudaine elle aperçut son interlocuteur. C'est un garçon de taille moyenne, brun et habillé de noir, pour l'instant rien de particulier .Pourtant quelque chose clochait, bien sûr elle savait qu'elle ne connaissait pas tous l'entourage de Zora et que ce jeune homme pouvait être très bien sont cousins, sont vielle amis ou simplement un gars qui lui demandait une cigarette, mais non Lizzy était persuadez que ce n'était pas cela !
Non il émanait de ce garçon une sensation étrange presque familière, c’était presque comme ...Presque comme cette même sensation qui lui chatoyait le ventre, comme celle qui lui avait fait tant de bien, celle qui se faisait ressentir en présence de son défunt père.
Le jeune homme tournas ces yeux gris acier vers elle, l’interrompant dans sa rêverie, elle frissonna, la sensation s’accentua.
Mais le mystérieux garçon se contenta de dire quelque mot qui tirait une moue vexé à Zora, puis il disparut dans la foule.
Lizzy libérée de l'étrange sensation qui l'avait envahis quelque minute au par avant, accourue, enfin tant bien que mal en se frayant un chemin dans la foule.
-Salut !
Dit Zora en lui faisant la bise, comme si de rien n’était.
-Salut, répondit la rousse. Wahou ! T'es en mode pastèque ce mois ?
-Ouaip, répondit fièrement Zora.
-Dit moi, commença Lizzie .C'est qui le mec qui ta parlé il y a deux seconde ?
Zora marqua un temps d’hésitation, elle était n'était pas aussi doué que lui pour le mensonge, elle !
-Ooff ! Personne, laisse tombés.
Lizzie aurait aimée l’interroger plus sur le sujet mais déjà leur train c'était arrêter devant eux .La voix incompréhensible de la direction leur annonça que le dernier train avant deux heure pour Paris venait de ....(le reste avait été tellement mal prononcé que aucune des adolescentes n'avaient compris)
-Aller vient Liz’, la pressa son amie .C'est le dernier jour autant pas être en retard !
Les deux adolescentes entrèrent dans le train, et évidemment il était plein a craqué et aucun un siège libre en vue .Elles se contentèrent de s'accrochées à la barre, serrer comme des sardines en boîte.
Pendant tous le trajet elles furent ballotées et à plusieurs reprises elles durent s’excuser auprès des gens qu'elles avaient bousculés.
Elles furent soulagées lorsque la voix embrouillée leur annonça qu’elles étaient arrivées.
Les filles sortirent péniblement du train et entreprirent de monter l'escalier pour enfin se diriger vers leur collège qui se dressait devant elles.
Sam 8 Oct - 22:26
