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 Quand tu détruis, je construis [libre]

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Alice Smith




Alice Smith



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MessageSujet: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitimeMar 8 Nov - 20:47

Je pense avoir laissé de la place afin que chacun y ajoute sa petite impression... Let's read !

♫"Quand tu détruis, je construis" -- Empyr; Give Me More





    Tout s’était passé rapidement et dans le plus grand silence. En effet, les parents de la jeune fille ne voulaient pas gâcher leur réputation au sein de l’union européenne. Le samedi soir qui avait suivit, ils avaient fait les valises de leur fille et le lendemain matin, ils étaient déjà partis. Alice n’avait rien vu venir, mais trop triste, trop vidée de tout, elle n’avait eut la force de se révolter et s’était laissée faire. Pleurer et crier ne servait à rien dans son cas, elle préférait encore se vider de son sang un petit peu. Ca lui donnait l’impression de pleurer pour un cas normal et la douleur physique calmait la douleur interne et ensuite, la jeune fille se sentait mieux, enfin mieux… Elle se sentait vide de toute émotion.
    Dans la voiture, elle repensa à Lucien. Elle aurait aimé le voir avant de partir mais bien sur, elle n’avait put le prévenir. Les yeux rivés sur la route qui se déplaçait lentement, elle retenait ses larmes. Et c’est là qu’une main, à un feu rouge, se posa sur la fenêtre de la voiture arrêtée près de la sienne. Alice leva les yeux et vit Lucien. Elle posa sa main sur sa fenêtre et avant de repartir, le jeune homme lui fit un cœur. Ne tenant plus, Mlle Smith laissa ses larmes couler, des larmes silencieuses.

    La route se fit dans le plus grand des silences et les larmes d’Alice ne cessèrent. Arrivée à l’internat, elle vit que ses parents avaient emprunté la voie cachée. Son arrivée se ferait donc dans le plus grand silence et le plus grand secret. Après le rendez vous avec le proviseur, ils avaient monté ses valises et avaient insistés afin que la jeune fille reste dans un chambre seule. Ensuite, ils étaient… partis. Simplement, silencieusement. Laissée seule à l’abandon, Alice avait prit son cutteur favori et était allée à la salle de bain. Personne ne l’avait dérangée jusqu’à ce que son téléphone sonne. C’était un message. Elle l’ouvrit et pleura à nouveau. C’était Lucien qui lui disait qu’il l’aimait, qu’il était triste qu’elle soit partie, et qu’il l’aimait. Il ajoutait que c’était la femme de sa vie mais maintenant ils allaient devoir vivre séparément. Et il continua par qu’il savait qu’elle préférait Martin et que tout n’irait jamais mieux. Regardant son téléphone, Alice n’eut pas la force de lui répondre et peu à peu, couchée sur son lit, la fatigue eut raison de son chagrin et elle s’endormie dans un sommeil agité.
    Le lendemain, penchée sur son petit déjeuné à une table, seule, elle essaya en vain de se remémorer son rêve. Elle savait qu’il concernait Lucien et Martin mais les détails et l’intrigue lui échappaient. Elle soupira, tourna sa cuillère dans son chocolat. Elle s’était levée très tôt, sept heures, afin d’échapper aux élèves qui viendraient rapidement envahir la cantine. Malgré ça, il y restait quelques lève-tôt qui mangeait en discutant. Dans un coin, elle vu un groupe qui lisait des bouquins de mathématique. Alice détestait les mathématiques bien qu’elle fut très bonne dans ce domaine. Renonçant à avaler quoi que ce soit, elle se leva, débarrassa sa table et rejoignit en hâte sa chambre. A huit heures dix, elle était déjà dans sa classe, la capuche rabattue sur sa tête, les écouteurs enfoncés dans ses oreilles, la tête posée sur la table. Elle entendit, malgré le hard rock qui lui criait dans les oreilles, les élèves arriver. Certains devaient se poser des questions. Elle se surprit à se demander comment les élèves de sa classe avaient réagit à son absence. Finalement, elle n’en avait cure, ils ne l’avaient jamais appréciée de toute manière. Excepté Martin…
    Au soulagement de la jeune femme, la prof arriva et commença son cour. Respectueusement, Alice enleva sa capuche et éteignit son baladeur. Tout semblait calme et en ordre, la jeune fille était au fond de la classe seule, les autres élèves restaient dans leurs bandes et Mlle Smith allait passer la fin de son année en ayant son bac. Enfin elle l’espérait. Malheureusement, un(e) élève vint contrecarrer ses plans en arrivant en retard et en s’asseyant près d’elle.




Dernière édition par Alice Smith le Dim 20 Nov - 20:19, édité 1 fois
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Kiwii Runda



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Kiwii Runda
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MessageSujet: Re: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitimeVen 11 Nov - 18:16

Le réveil voltigea jusqu'à l'autre côté du dortoir se fracassant par la suite ...
Tout les matins c'était le même refrain, je "kapoutait" mon réveil. Heureusement que jusque là il avait tenu le coup. Même s'il ne me servait pas a grand chose a part a une distraction du matin. Car tout les matins, c'était mes colocataires qui me réveillais quand elle partaient pour les cours, sinon ... Elles pouvaient tout a fait perdre un œil ... Je me préparais donc a toute vitesse enfilant les vêtements qui me passaient sous la main, me dépêchais d'aller en cours, et comme pour la plus part des jours arrivais comme par hasard en retard. Ce matin, je pense que vous l'aurez compris, c'est ce qu'il s'est encore passé. Résultat je me suis fait enguirlander par la prof pendant une bonne dizaine de minutes - tant mieux, ça fait toujours ça de cours en moins-. Finalement j'allai m'assoir a ma place habituelle au fond de la classe a côté de ... de ... Une nouvelle!!! Ouah ça fait plaisir, faisant un sourire innocent a la prof, une fois le cours ayant repris sont cours (mouahahah tongue) je lui sourit chaleureusement puis lui chuchota:

-Salut, je suis kiwii et toi??
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Alice Smith




Alice Smith



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MessageSujet: Re: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitimeDim 20 Nov - 20:20


♫"Quand tu détruis, je construis" -- Empyr; Give Me More




    Une jeune fille d’origine surement japonaise vint s’assoir près d’elle. Alice la regarda se demandant pourquoi elle ne s’était pas posée autre part, elle ne voulait pas de pitié. Alice le ne la regarda même pas, sachant que la jeune fille allait dès le départ la juger sur son style vestimentaire et son maquillage. D’un air dédaigneux, Mlle Smith tourna son regard vers l’extérieur avec une envie d’évasion. Mais tout ne se passa pas, encore une fois, comme Alice l’avait prévu. Effectivement, la jeune fille lui adressa la parole la saluant et se présentant. Elle s’appelait Kiiwi. Quel étrange prénom pour une femme. Alice lui sourit amicalement se permettant de la regarder plus en détail.
    Kiiwi était une femme assez élancée, grande et très mince. Elle n’était pas jolie en elle-même mais un charme émanait de son visage de jeune fille. Elle avait un style de garçon, un style qu’Alice n’avait jamais rencontré auparavant. Elle se présenta à son tour et se tut afin de prêter attention au cours que donnait Mme German. Sa voix se parfait dans le lointain, il lui semblait qu’elle parlait du théâtre. Dans son passé, Alice avait joué dans plusieurs pièces de théâtre.
    Mlle Smith fut intriguée par un bruit venant près de la porte. Là elle vu Martin ! Martin, comment cela pouvait il être possible ?! Martin était mort, il ne reviendrait plus jamais. Pourtant il semblait si réel. Alice ne prêta aucune attention aux autres élèves passifs sur leurs chaises. Elle se leva puis se rapprocha de la porte. L’homme lui expliquait qu’Alice devait lui dire au revoir, qu’elle devait faire sa vie. Elle lui répondit qu’elle ne pouvait faire sa vie sans lui, qu’elle l’aimait plus que tout et qu’il lui causait plus de peines que personne d’autre ne lui avait jamais causées.
    Les rires des élèves de la classe firent revenir la jeune femme sur terre. Elle regarda autour d’elle, intriguée, perdue. Que s’était-il passer. Son cerveau ne fit qu’un tour avant qu’elle ne comprenne et rougisse de honte. Martin avait disparut. Mme German l’aida à se sentir mieux.
    « Bien, expliqua t- elle, ceci est un exemple de monologue. Mlle Smith avait vous fait du théâtre auparavant ? »
    Honteuse, la tête entrée dans ses épaules, Alice acquiesça de la tête avant de furtivement retourner à sa place. Elle se déplaça sans problème et avec une grâce et une agilité épatante. Assise sur sa chaise, elle ne lâcha plus sa jeune professeur du regard tellement elle avait peur que ses yeux ne dévient sur les autres camarades et ne croisent un regard moqueur. Mlle Smith avait pensé qu’un jour tout irait mieux, qu’elle pourrait se faire une nouvelle vie. Elle se trompait. Ce nouveau départ avait échoué, encore une fois. Jamais elle ne pourrait redevenir la jeune fille naïve et heureuse qu’elle fût. Enfin… Qu’elle n’avait jamais été réellement. Alice aimerait juste le devenir. Cela l’obsédait à un tel point qu’elle se détruisait elle-même. Si quelqu’un lui adressa la parole pendant cette période ? Elle ne le savait, elle ne faisait plus attention à rien ni à personne, possédée par son chagrin.
    Le cour finit plus vite qu’elle ne l’espérait. Elle accordait toute se reconnaissance à sa professeur. Mais cette reconnaissance devint rapidement de la haine lorsque cette dernière l’appela. Arrivée à son bureau, Mme German attendit que la classe fût vide afin de prendre la parole.
      « Mlle Smith, commença t’elle, je pense que vous devriez voir la psychologue de l’école. »

    Surement en voyant les éclairs que lançaient les yeux d’Alice ainsi que le regard noir qui transperçait l’enseignante, cette dernière se justifia non sans avoir tremblé un peu avant. De quoi se mêlait-elle cette dame ? Était-elle quelqu’un qui connaissait Alice ? Non.
      « Mademoiselle, après un accident de vie comme le vôtre, il est certain que voir un médecin peut vous aider à aller mieux.
      -Mme German, répliqua Alice, furieuse, d’un ton sec et provoquant. Vous ne savez ce que ça fait de perdre l’homme que l’on aime le plus au monde. Je crois que vous êtes mal placée pour me dire ce que je dois faire. Pensez à gérer votre classe et laissez-moi m’occuper de mes affaires.
      -J’ai perdu mon fiancé. Expliqua le professeur sur le bord des larmes. Sa voix tremblait légèrement lorsqu’elle prononça cette phrase. »

    Alice émit un petit « Ah » conclusif et dédaigneux avant de s’en aller. Elle ne voulait pas de conseils de cette femme qu’elle ne connaissait pas. Et elle n’avait cure de ses histoires. Mme German lui avait griffonné un petit mot sur lequel elle expliquait qu’Alice se trouvait avec l’enseignante en fin de cours. La jeune fille se permit donc d’arriver un peu plus en retard et passa dans les toilettes. Là, elle prit son cutteur. Le sang commençait à tomber lorsque quelqu’un poussa la porte. Rapide comme l’éclair, Mlle Smith se cacha derrière la porte. Rien ne pouvait l’y trouver a part si on fermait cette dernière. Elle imagina sans peine ce que pouvait voir la fille qui venait d’entrer dans les toilettes : du sang dans un lavabo avec personne autour.

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Yumi Takashi




Yumi Takashi
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MessageSujet: Re: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitimeSam 10 Déc - 12:15

De gros nuages noires menaçants se bousculent dans le ciel au couleurs monotones.
La température est très douce pour un mois de Novembre mais malgré tous, aujourd'hui une pluie torrentielle viens rappelée aux étudiants la dure réalité : l'Hiver est bien là même s'il ne se fait pas sentir.
Trempée jusqu'aux os, Yumi ne prend pourtant pas la peine de rabattre la capuche de son sweat sur ces cheveux noirs. Pourquoi ? Parce qu'elle est trop occupée à faire attention à son genou endolori.
Un simple claquage, rien de plus. Mais l'adolescente boîte belle et bien. Elle songe qu'elle aurait mieux fait de ne pas s'entrainer aujourd'hui...
Pourtant, la dernière fois qu'elle s'était fait mal on lui avait bien recommandée de ne pas forcer. Recommandation que la sportive n'avait bien sûr absolument pas prise en compte...
La jeune fille arrivât finalement dans la grand hall et continuât son chemin clopin clopant vers les toilettes des filles. Au milieu de la foule bruyante qui remplissait les couloirs la jeune fille passait inaperçue. Cela ne lui déplut pas bien au contraire, elle aurait été vexée que quelqu'un lui propose son aide par charité.
Enfin, elle arrivât devant la porte des toilettes qu'elle poussât de son épaule droite. Elle se dirigeât vers le lavabo avec difficulté et appliquât de l'eau froide sur son muscle. Ce geste lui arrachât un sourire d'apaisement. Elle n'avait malheureusement pas d'autres choix que de réutiliser les béquilles rangées soigneusement sous son lit...
Avec une grimace de douleur l'adolescente se hissât sur la grande poubelle afin d'atteindre l'aération. Elle retirât le grillage et passât avec le plus grand soin sa main dans la bouche d'aération. Elle en sortit un rouleau de bandage et descendit avec prudence sur le sol. Là, elle examinât sa chevelure trempée dans le miroir et constatât avec étonnement que ces pupilles gris avait une teinte rougeâtre.
Ce n'est qu'à ce moment que la sportive prêtât vraiment attention à la tâche de sang qui maculait le premier lavabo.
Elle n'eut pas le temps d'examiner mieux cette étrange trouvaille; un bruit de pas se fit entendre derrière elle. Le miroir ne lui montrait qu'une ombre flou qui s'avançait lentement vers elle.
La jeune fille se retournât tranquillement pour comprendre à qui elle avait affaire.

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Alice Smith




Alice Smith



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MessageSujet: Re: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitimeDim 11 Déc - 15:17


♫"Quand tu détruis, je construis" -- Empyr; Give Me More




    La jeune fille qui venait d’entrer n’avait pas fait attention au sang dans le lavabo au premier abord. Elle était grande et bien élancée. Alice aurait avoir la taille de guêpe de la jeune femme. Ses longs cheveux noirs gouttaient sur le sol. Cette dernière les essora avant de mettre sa jambe, avec une agilité étonnante, dans le lavabo. L’eau coula. Ce bruit permit à Alice de s’autoriser à respirer à nouveau. D’où Alice était, elle ne put voir ce que faisait l’autre femme au niveau de la poubelle mais cette dernière revint avec du bandage. Le visage fin de la jeune femme se reflétait dans le miroir et Alice put observer ses beaux yeux gris et la douceur qui émanait de sa figure. Une douceur qui se transforma rapidement et interrogation lorsqu’elle vu le sang sur le miroir. Rapidement Alice remit son bracelet et rangea son cutteur dans son sac. Elle frotta ses mains sur un mouchoir afin d’en enlever les résidus de sang et s’apprêta à sortir aussi discrètement que possible la capuche rabattue sur la tête.
    Malheureusement, le miroir refléta sa propre apparence et son idée de fuir dans le plus grand secret fut troublé. La femme qui se contemplait dans le miroir se retourna. Elle ne fut en aucun cas effrayée. Alice la dévisagea et leurs regards se croisèrent. Les yeux de la jeune femme n’exprimaient que haine, méfiance et respect pour la sportive. Alice baissa rapidement sa tête comme si le regard de la jeune fille l’avait brûlé. Elle sortit précipitamment des toilettes sans attendre rien de qui que ce soit. L’autre femme avait dut la prendre pour une folle, elle aussi. Alice avait été si stupide de croire qu’elle aurait put être aimée dans cette école.
    La jeune suicidaire arriva avec un quart d’heure en retard à son cours. Le professeur ne lui fit aucune remarque et comme à son habitude, elle s’assit seule. Kiwii ne vint pas la rejoindre, ni même dans les cours qui suivirent. Alice était comme séparée du monde. Elle espérait que la fille des toilettes ne l’aurait pas dénoncée ou… De toute façon quels étaient les risques ? Une sale réputation ? C’était déjà fait de toute manière.
    L’heure du midi sonna et ce fut en troupeau que les élèves se dirigèrent vers le réfectoire. Bien sur les groupes se formèrent tout de suite et Alice trouve rapidement une table seule. Elle vit Kiwii et la fille des toilettes arriver. Alice mit sa capuche, ses écouteurs et pencha sa tête afin que personne ne la vit.
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MessageSujet: Re: Quand tu détruis, je construis [libre]   Quand tu détruis, je construis [libre] I_icon_minitime

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