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 | Sujet: Sayonara,miss (PV Yumi Takashi)  Lun 19 Déc - 10:44 | |
| Shindara Fujimi
J'étais tranquillement assis sur un banc,tenant Yumi dans mes bras.Depuis le décès de ma mère,nous étions encore plus proche.Je profitait de chaque instant avec la sportive.La journée était belle et les gens étaient tous de sortit. Il n'y avait presque aucune voiture et nous étions assis près de l'endroit ou nous nous étions embrassé pour la première fois.Y repensant,je souriait et j'embrassa tendrement la brune ,la serrant encore plus fort contre moi.Comment est-ce que j'avais pu prendre le risque de la perdre?Je l'embrassais a nouveau en soupirant.Dans cinq minutes je devrais partir pour mon cours de basse puis je reviendrais la retrouver au même endroit pour ensuite aller faire un entrainement.Lentement,je vis les minutes passer et je l'embrassa amoureusement avant de me lever.
-Désolé,miss,faut que j'y aille! Soupirais-je. A tout à l'heure! Lui-dis en souriant.
Je saisis ma basse et me tournais vers le passage piéton tout en mettant ma musique a fond.Comme il n'y avait presque aucune voiture,je ne fis pas attention si le feu était vert ou rouge et je traversa.J'aurais du faire attention.J'entendis un lointain hurlement et me retourna vers la chaussé.Trop tard. |
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Yumi Takashi
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| | Sujet: Re: Sayonara,miss (PV Yumi Takashi) Lun 19 Déc - 19:54 | |
| BANG
Un bruit sourd, puis le silence.
Plus de bruits, tous c'est stopper, plus rien ne bouge...
La voiture a continuée sa course folle, laissant sur son passage un corps inanimé au milieu de la route.
Le cri de désespoir d'une adolescent retentit, brisant le calme qui s'est installé sur la rue.
Yumi s'est jetée au chevet de Shindara. Elle collât son oreille contre sa poitrine, le battement c'est accéléré, la tête du jeune homme est recouverte d'une substance rouge visqueuse, le garçon se vide de son sang...
Les yeux de la jeune fille s'embrume, tous semble flou autour d'elle, le temps ralenti. Les gens marmonnent des paroles incompréhensibles dans leurs téléphones, d'autres se sont portés au secours du sportif, mais ils ne savent que faire.
-Shindara, je t'en supplie...
Les yeux du jeune homme restent obstinément clos. Bientôt, les secours tant attendue arrive. Puis ils repartent, comme si de rien était; emportant avec eux deux adolescents, deux sportifs, un couple...
Hôpital George Pompidou :
-Mlle Takashi ?
L'adolescente bondit aussi tôt de son siège, avec une rapidité effrayante elle se retrouve devant le docteur.
-Alors ? Est ce qu'il vas bien ?
-Dans un sens, il s'en sort bien pour un accident de cette envergure...
-C'est génial ! Je peux le voir ?!
Le médecin parût embarrassé... Il se triturât nerveusement l'avant bras.
Ce détail semblât échapper à la jeune fille, bien trop occupé à s'inquiéter du sort de son amant.
-Mlle, Vous devriez... Vous assoir.
La sportive s’exécutât. Plus attentive que jamais elle écoutât avec appréhension les paroles de l'homme.
-Nous avons fait notre maximum, et le pronostic vital de votre ami n'est plus en jeu. Mais le choc a engendré de graves lésions à son cerveau, il est en ce moment dans le comma, il est fort probable qu'il... Ne se réveille jamais... Et s'il venait à sortir de ce comma, les dégâts de l'accident lui auront laissé de graves séquelles apparemment irréversibles...
Chaque mot pesait comme une pierre noire sur le cœur de la sportive.
-Est ce que... Je peux le voir; s'il vous plait ?
Sa voix mélodieuse était à présent plus grave, comme brisée.
-Mais bien évidemment. Je vous y conduit.
L'adolescente suivit le grand homme d'un pas chancelant dans les longs couloirs délavés de l’hôpital, une impression de fin du monde flottait dans son esprit...
Enfin, le grand homme s’arrêtât devant la porte "B 14".
-Voila, c'est ici, je vous laisse seuls.
La jeune fille prit une profonde respiration et agrippât la poignet d'une main tremblante. La porte s'ouvrit dans un grincement aigu.
Shindara, très pale, trônait dans un grand lit au milieu de la pièce. La jeune fille s’approchât sans prêter attention au"bip" incessants des machines. Jamais le jeune homme n'avait paru si mal en point...
L'adolescente saisit sa main et la serrât dans la sienne, plus fort, toujours plus fort.
Des larmes amers coulèrent sur les pommettes fines de la jeune fille.
Personne ne sait combien de temps elle est restée ainsi, à dévisager le jeune homme.
Soudain elle soufflât :
-T'as pas le droit de me laisser tu m'entends ! T'AS PAS L'DROIT !
Telle une âme damnée, elle s'en allas en courant de l’hôpital.
La rage et la tristesse inondait son cœur.
Oubliée, oui, ce soir, elle aurait voulue tout oublier...
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