L'acceuil avait été bon dans son nouveau lycée, il avait été populaire dès sa première semaine et avait enchaîner des relations. Des relations qui n'avaient jamais durées plus d'une semaine. Il manquait un petit quelque chose aux filles qu'il fréquentait. Ce petit quelque chose était bien sur Emilie. Elle était tellement différentes des autres filles. Les deux amants n'avaient jamais rompus, Kenzo n'en aurait eut la force de toute manière. Il aurait voulut être sa première fois, son prince charmant, celui qui la faisait rire, il aurait voulut la voir jalouse, la voir pleurer pour lui. Maintenant elle devait surement en avoir un autre et le jeune new-yorkais jalousait cette personne. En même temps, il ne voulait que le bonheur de la jeune femme. La nostalgie n'avait jamais quitté le jeune homme, et il appelait encore quelques personnes par le nom de ses anciens amis. Ce qui lui fit totalement prendre conscience de son amour pour Emilie fut une fois, il y avait une semaine, lorsqu'il était en plein act avec sa copine, il avait murmurer le prénom de la jeune bourgeoise.

Maintenant, il haissait son père. Ce dernier lui avait dit que Kenzo ne verait aucun changement entre les deux écoles. Il se trompait. Dans sa nouvelle école il n'y avait aucun groupe. Tous étais soudés et heureux. Mais tous étaient aussi très assidus et Kenzo dépairissait dans un endroit tel quel. Alors, les écouteurs sur les oreilles, il rêvassait, il repenssait à son ancienne vie. Ses notes étaient bien montées, son père devait en être fièr. Son garçon aurait son bac mais il sombrait dans la depression, le tabac et l'alcool.

N'en pouvant plus, Kenzo décida qu'il devait revoir ses anciens amis. Ils lui manquaient trop. Le jeune homme pensa que pour les voir, il lui fallait arriver dans la semaine. Un mardi au mieux. Il se rappelait parfaitement du plan de l'école, il n'aurait surement pas trop de difficulté à tous les retrouver, surtout si les cours n'avaient vraiment changés depuis la dernière fois. Une fois la décision prise, il fit son sac en prenant soin de penser à prendre une centaine d'euros. Et le lundi, après ses cours, il quitta son internat et une vingtaine de minutes après, il était dans le train. Le lendemain, il éteindrait son téléphone portant afin de ne pas être dérangé par son père. Rapidement, confortablement installé, il s'endormit en direction du bonheur, en direction de SON internat. Il sourit bêtement durant tout son trajet sans vraiment s'en rendre compte. Au petit matin, il arriva dans la gare principale de la ville. Là il se permit de fumer une cigarette avant de monter dans un bus qui devait le conduir juste devant l'internat. Il mit une bonne heure avant d'arriver. Il était trop tard pour aller embêter ses amis : ils avaient cours. Mais ce midi serait parfait. Kenzo se balada donc dans le village d'antan. Il avait bien changé. Une discothèque avait étée créée, il imagina très bien Emilie y draguer. (autres détails à ajouter).

A midi. Sa sonnerie favorite retentit. Il était posté, caché derrière la porte de la classe de yumi. Il l'avait aperçue au premier rang en cherchant sa salle et en regardant par la fenêtre de la porte. Il sourit, la porte s'ouvrit et les élèves, toujours aussi bavards se racontait des petites aventures futiles. La voix de yumi raisonna. Il s'étonna de s'en rappeler encore. Lorsqu'il vut son dos, il l'attrapa d'une main sur le ventre, l'autre sur sa bouche. Ce qu'avait oublié le jeune américain c'est que la jeune femme ne se laissait pas faire et retirant son bras, elle lui mit un coup de coude dans le visage. Kenzo lâcha prise et s'exclamant.

''Yumi ! T'es toujours aussi brute !'' Le visage tourné vers le sol, il ne vit pas l'expression de Yumi lorsqu'elle dut le reconnaitre.